Démystifier les idées reçues
Le papier a longtemps été accusé d’être un ennemi de l’environnement. Pourtant, de nombreuses études démontrent que son impact, lorsqu’il est produit et utilisé de façon responsable, est bien moindre que ce que l’on croit. À l’inverse, le digital possède une empreinte carbone souvent sous-estimée.

Le papier : une ressource gérée durablement
Contrairement aux idées reçues, la production de papier ne détruit pas les forêts. En Europe, la filière papetière est encadrée par des certifications (PEFC, FSC) qui garantissent une gestion durable des forêts.
Résultat : la surface forestière européenne a augmenté de plus de 30 % depuis les années 1950.
Un matériau recyclable et circulaire
Le papier peut être recyclé jusqu’à 7 fois, et il fait partie des matériaux les plus recyclés au monde. Une feuille imprimée peut donc connaître plusieurs vies avant son élimination finale, réduisant son empreinte écologique.
Le digital : une empreinte invisible mais réelle
Si le numérique semble « immatériel », son impact est loin d’être neutre :
- Data centers gourmands en électricité
- Fabrication d’appareils électroniques très polluante
- Obsolescence rapide des équipements
Selon l’ADEME, l’envoi de 20 emails par jour pendant un an équivaut à l’empreinte carbone de 1 000 km parcourus en voiture.
DIPREST : des solutions d’impression responsables
Chez DIPREST, nous mettons en œuvre des pratiques respectueuses de l’environnement :
- Utilisation de papiers issus de forêts gérées durablement (PEFC, FSC)
- Optimisation des formats pour limiter les chutes
- Encres et procédés d’impression adaptés à une meilleure recyclabilité
- Logistique rationalisée pour réduire l’empreinte transport
Conclusion : choisir le papier, c’est choisir la durabilité
Lorsqu’il est produit, imprimé et distribué de façon responsable, le papier n’est pas seulement écologique : il est aussi un vecteur de communication durable, efficace et mémorable.